Les meurtriers de Mariama Sagna, responsables du Pastef à Keur Massar, ont été identifiés par la gendarmerie en moins de vingt-quatre heures. Dès les premières heures de cette affaire survenues samedi, le Haut commandant de la gendarmerie a déployé les moyens en faisant dessaisir la brigade de Keur Massar au profit de la Brigade de Recherches qui dispose d’un champ d’actions plus vaste. Révélations.
Libération est en mesure de révéler que les présumés assassins de la dame Mariama Sagna, ont été identifiés par les enquêteurs de la Brigade de Recherches de Dakar.
Dès les premières heures de ce crime crapuleux, le Haut Commandant de la gendarmerie a fait dessaisir la brigade de gendarmerie de Keur Massar au profit de la Brigade de Recherches qui dispose de plus de ressources. Mais dans cette affaire, les communications intempestives ont gêné le travail des gendarmes. A preuve, l’un des deux suspects est en cavale depuis qu’il a appris que son acolyte a été appréhendé par les gendarmes au quartier Aladji Pathé alors qu’il tentait de se fondre dans la nature.
Que s’est-il passé au juste ? Pour les besoins du meeting du leader du Pastef, Mariama Sagna avait déplacé certains meubles. A la fin du meeting, elle a engagé deux charretiers pour le transport des bagages. Après négociations, elle indique son domicile avant de les devancer. Elle était en train de vivre ses deux dernières instants puisqu’elle sera découverte inerte, étalée sur le lit de sa chambre.
Dès les premiers constats, la thèse d’un viol qui a mal tourné, paraissaient évidents. En effet, la victime était presque nue et des traces de sperme ont été découvertes sur son corps. Le certificat de genre de mort a attesté qu’elle a été étranglée alors que l’autopsie pratiquée à l’hôpital Le Dantec confirme plusieurs pénétrations. En clair, elle a été violée à plusieurs reprises.
L’un des charretiers, arrêté sur la base de plusieurs témoignages, a fait des aveux complets face aux enquêteurs.
D’emblée, il a reconnu n’avoir pas agi seul. Ensuite, il a expliqué que lorsqu’ils sont arrivés dans le domicile, il n’y avait pas âme qui vive. C’est en avançant qu’ils ont trouvé Mariama Sagna, couverte à moitié, en train de sortir de la salle de bain. C’est sans doute la vue de cette nudité qui a réveillé leur instinct de prédateur. L’un des meurtriers présumés a révélé qu’ils se sont ensuite jetés sur cette mère de famille pour la violer tout à tour et ce serait son complice qui l’aurait étranglée parce qu’elle criait.
Le deuxième suspect est à quant à lui connu des archives de la justice pour plusieurs faits de délinquance notoire. Le Haut commandant a déployé tous les moyens pour lui mettre la main dessus et son signalement a été transmis à toutes les forces de sécurité.
Dès les premières heures de ce crime crapuleux, le Haut Commandant de la gendarmerie a fait dessaisir la brigade de gendarmerie de Keur Massar au profit de la Brigade de Recherches qui dispose de plus de ressources. Mais dans cette affaire, les communications intempestives ont gêné le travail des gendarmes. A preuve, l’un des deux suspects est en cavale depuis qu’il a appris que son acolyte a été appréhendé par les gendarmes au quartier Aladji Pathé alors qu’il tentait de se fondre dans la nature.
Que s’est-il passé au juste ? Pour les besoins du meeting du leader du Pastef, Mariama Sagna avait déplacé certains meubles. A la fin du meeting, elle a engagé deux charretiers pour le transport des bagages. Après négociations, elle indique son domicile avant de les devancer. Elle était en train de vivre ses deux dernières instants puisqu’elle sera découverte inerte, étalée sur le lit de sa chambre.
Dès les premiers constats, la thèse d’un viol qui a mal tourné, paraissaient évidents. En effet, la victime était presque nue et des traces de sperme ont été découvertes sur son corps. Le certificat de genre de mort a attesté qu’elle a été étranglée alors que l’autopsie pratiquée à l’hôpital Le Dantec confirme plusieurs pénétrations. En clair, elle a été violée à plusieurs reprises.
L’un des charretiers, arrêté sur la base de plusieurs témoignages, a fait des aveux complets face aux enquêteurs.
D’emblée, il a reconnu n’avoir pas agi seul. Ensuite, il a expliqué que lorsqu’ils sont arrivés dans le domicile, il n’y avait pas âme qui vive. C’est en avançant qu’ils ont trouvé Mariama Sagna, couverte à moitié, en train de sortir de la salle de bain. C’est sans doute la vue de cette nudité qui a réveillé leur instinct de prédateur. L’un des meurtriers présumés a révélé qu’ils se sont ensuite jetés sur cette mère de famille pour la violer tout à tour et ce serait son complice qui l’aurait étranglée parce qu’elle criait.
Le deuxième suspect est à quant à lui connu des archives de la justice pour plusieurs faits de délinquance notoire. Le Haut commandant a déployé tous les moyens pour lui mettre la main dessus et son signalement a été transmis à toutes les forces de sécurité.
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